Milan, 17 décembre. (LaPresse) – « Nous n'avons pas l'intention de faire marche arrière, nous considérons qu'il est inacceptable de revenir à cet horrible marché des tests et des sociétés qui dispensent une fausse formation sur des tests sélectifs et non formateurs dont nous avons tous convenu de nous éloigner ». C'est ce qu'a déclaré Anna Maria Bernini, ministre de l'Université et de la Recherche, en réponse à la séance de questions-réponses à la Chambre des députés sur le semestre de sélection pour l'accès à la faculté de médecine. « La réforme avance avec les étudiants, nous n'avions aucune certitude et c'est pourquoi nous avons déjà prévu des mesures correctives hier lors de l'installation du Cnsu, le Conseil national des étudiants universitaires, nous avons décidé avec eux de créer un groupe permanent sur la médecine », a-t-elle déclaré. « Nous avons l'intention de continuer à mettre en œuvre la réforme, sur la base des principes d'équité, d'inclusivité et de démocratie », a-t-elle souligné.