Cette “suspension” du populaire service de partage de vidéos “vise à protéger la Commission contre les cybermenaces (…) Il est de notre devoir de réagir le plus tôt possible aux cyberalertes potentielles”, a indiqué l’exécutif européen dans un communiqué.
Les fonctionnaires et employés de la Commission ont jusqu’au 15 mars au plus tard pour désinstaller l’application de leurs appareils professionnels (smartphones, tablettes…), a précisé un porte-parole de l’institution.