Didier Reynders, commissaire européen à la Justice, a rappelé ce lundi que l’adoption du pass sanitaire par l’UE s’imposait aux pays membres. « Il y a eu deux décisions: le certificat qu’on a mis en place et qui s’impose à tous les États européens, comme une preuve de votre situation par rapport à la maladie.
Et puis il y a une recommandation adoptée par les 27 États, qui part de l’idée que le passeport se suffit à lui-même, sauf si la situation sanitaire venait à se détériorer», a indiqué le commissaire. «Nous allons donc discuter avec Malte pour qu’elle accepte les tests PCR», a-t-il ajouté. «En fonction du taux de contamination par le variant Delta (…), il est normal que l’on reprenne des mesures, de test et de quarantaine, mais pas d’interdiction de voyage», a-t-il dit.