Turin, 21 août (LaPresse) – "Étant un circuit nouveau, c’est l’une de ces situations où l’on touche la moto le moins possible et on essaie simplement de s’adapter en faisant autant de tours que possible." C'est ainsi que Francesco Bagnaia a décrit son approche du Balaton Park, où se déroulera le Grand Prix de Hongrie ce week-end. Il a qualifié le circuit de "très, très petit" et a remis en question la capacité de la MotoGP à s’adapter. Concernant ses difficultés actuelles, Pecco a expliqué : "Que se passe-t-il avec moi ? Rien. Il n’y a pas grand-chose à dire. Cela fait 7 mois que je ne parviens pas à trouver le potentiel ni à utiliser cette moto comme je le voudrais. Nous essayons différentes directions pour trouver une solution, mais ce n’est pas facile." Il a confirmé qu’il y a des échanges continus avec Ducati "après chaque week-end de course." Bagnaia a ajouté : "Il y a des problèmes que nous traînons depuis le début de la saison et que nous n’avons pas encore résolus. Nous continuerons à y travailler, et nous savons que cette année a commencé difficilement. Il y a encore des difficultés, mais nous avons certainement le potentiel pour finir aussi haut que possible. Nous essaierons de faire un autre pas en avant ici." Concernant ses déclarations en Autriche, il a admis : "J’imaginais que, en partie à cause de moi, ces déclarations allaient circuler. Il n’y a rien à faire quand on donne des interviews en étant en colère après une course. Avec autant de journalistes qui te demandent ce qui ne va pas, il est difficile de rester calme, et comme je suis quelqu’un qui dit ce qu’il pense, j’ai du mal."