La FIFA a, ainsi, sommé le club saoudien de verser environ 4 millions d’euros au joueur marocain.
La direction d’Al Nasr avait, en novembre dernier, unilatéralement mis fin au contrat de l’attaquant marocain, affirmant qu’elle disposait des raisons juridiques justifiant sa démarche.
Suite à cette résiliation, Abderrazzak Hamdallah avait saisi la FIFA pour réclamer le montant de la clause libératoire stipulée dans son contrat.
Commentant le verdict de l’instance footballistique internationale, des sources juridiques proches du dossier ont expliqué que le club saoudien devrait demander les raisons du verdict dans un délais de 10 jours et disposera alors de 21 jours pour déposer un recours, notant que l’affaire finira très probablement devant le Tribunal arbitral du sport (TAS).