Mais, près d’un an après le début de l’invasion de l’Ukraine par Moscou, le Comité international olympique (CIO) a dessiné une feuille de route pour les réintégrer dans le sport mondial, jugeant qu’«aucun athlète ne devrait être interdit de compétition sur la seule base de son passeport».

Se référant à la déclaration du CIO du 25 janvier, le ministère des Sports et des JO a expliqué à l’AFP que la question d’une «éventuelle participation» sous bannière neutre est «discutée» par le CIO mais «n’a fait l’objet d’aucune décision» pour les JO de Paris. Et a réaffirmé le «soutien» de la France «au maintien de toutes les sanctions économiques, politiques, diplomatiques, sportives et culturelles» contre la Russie.

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