Dans un bulletin d’information sur la sécurité, visible vendredi sur son site internet, l’Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) a mis en garde contre ce phénomène dû soit à un “brouillage” des signaux satellitaires de positionnement, soit à leur “usurpation”.
L’ampleur de ces anomalies est différente selon les situations mais elles ont pu, “dans certains cas, mener à des modifications de trajectoire ou même à un changement de destination car il était impossible d’effectuer un atterrissage en sécurité”, déclare l’AESA tout en jugeant que le phénomène n’est pas tel qu’il nécessite de suspendre les opérations de vol.