Dix femmes rapatriées en France depuis des camps syriens de prisonniers djihadistes ont été mises en examen lundi 24 octobre pour association de malfaiteurs terroriste criminelle. L’une d’entre elles est accusée de crime contre l’humanité et génocide.

Dix femmes rapatriées la semaine dernière en France depuis des camps de prisonniers jihadistes de Syrie ont été mises en examen pour association de malfaiteurs terroriste criminelle et placées en détention provisoire lundi 24 octobre, d’après le parquet national antiterroriste (Pnat).

Ces femmes, qui faisaient l’objet d’un mandat de recherche, avaient été placées en garde à vue à leur arrivée sur le sol français dans la nuit de mercredi à jeudi dans les locaux de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). L’une d’entre elles a aussi été mise en examen pour crimes contre l’humanité et génocide.

© Copyright LaPresse